Combourg tire son nom des mots gaulois, latins ou bretons "combore" ou "combure" signifiant le val de la limite et rappelant la frontière des diocèses de Dol-de-Bretagne et de Saint-Malo.
Dès l'époque gallo-romaine, Combourg occupa une position stratégique et fut un village à l'activité artisanale intense. Jusqu'à l'an mille, la ville subit les assauts dévasteurs des Vikings.

En revanche il lui imposa et à ses successeurs l'obligation de défendre les terres et sujets de l'église de Dol et de commander son ost. C'est pour cette raison que le sire de Combourg prit dans ses chartres le titre de signifier Sancti Samsonis (porte-enseigne de saint Samson). La seigneurie de Combourg resta en possession des descendants de Riwallon jusqu'à la mort d'Yseult de Dol en 1197.
Toutefois le fils qu'elle avait eu de son union avec Harsculf de Soligné (mort également en 1197) releva le nom de sa mère en devenant Jean III de Dol.
La seigneurie de Combourg fut ensuite transmise par héritage aux familles : de Châteaugiron dit de Malestroit de Rieux, du Châtel, de Montjean, d'Acigné et enfin de Coëtquen ces derniers obtinrent que la seigneurie soit érigée en Comté en 1575. L'ultime héritière de cette famille vendit le comté aux parents de Chateaubriand par contrat du 3 mai 1761.
Jusqu'au début du XXe siècle, les principales activités de Combourg étaient la beurrerie, la fromagerie, la fabrication de toiles à voiles en chanvre, de toiles de lin, la taille et le polissage du granit, la tannerie et la briqueterie.
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